Côte d’Ivoire: Document d’Information sur la situation des défenseurs des droits de l’homme pour l’Examen Périodique Universel

14.02.2014

Ce Document d’Information sur la situation des défenseurs des droits de l’homme en Côte d’Ivoire entend aider les Etats et les autres parties prenantes à formuler leurs questions et recommandations relatives à la protection des défenseurs lors de l’Examen Périodique Universel du pays. 

Lire le Document d’Information pour l’Examen Périodique Universel de la Côte d’Ivoire.
Read the UPR Briefing Paper on the situation of human rights defenders in Côte d’Ivoire.

(Genève) – La Côte d’Ivoire passera lors de la 19ème session de l’Examen Périodique Universel (EPU) prévue d’avril à mai 2014.

Le travail des défenseurs des droits de l’homme en Côte d’Ivoire s’effectue dans le cadre d’un Etat en transition post-conflit. Ce contexte est générateur d’insécurité  et rend d’autant plus cruciale la reconnaissance et la protection de leur travail pour la promotion des droits humains, de la démocratie et de l’état de droit.

Certains groupes de défenseurs tels que les journalistes ou les défenseurs des droits LGBT, sont particulièrement à risque.

En septembre 2013, le Conseil des Ministres de Côte d’Ivoire a adopté un projet de loi sur la protection des défenseurs des droits de l’homme. Grâce à l’EPU de la Côte d’Ivoire, les Etats et le Conseil des droits de l’homme ont une belle opportunité d’encourager le gouvernement du pays à étoffer et mettre pleinement en œuvre cette loi. 

Ce Document d’Information sur la situation des défenseurs des droits de l’homme en Côte d’Ivoire (également disponible en anglais) entend aider les Etats et les autres parties prenantes à formuler leurs questions et recommandations relatives à la protection des défenseurs lors de l’EPU.

Pour plus d’informations sur ce Document ou pour toute assistance ou conseil pour la formulation de vos recommandations, veuillez contacter M. Clément Voulé, notre Chargé de Plaidoyer pour l’Afrique: [email protected]

Photo: UN Photo/Jean-Marc Ferré